Devant la dénonciation calomnieuse, le FPI brandit les réalisations

Dans une mise au point, la Cellule de communication du Fonds de promotion de l’industrie (FPI) constate que depuis 48 heures, il circule un mémo paraphé et non signé, ressemblant à un tract quelconque, par lequel les initiateurs incapables de s’assumer prêtent des intentions aux autorités intérimaires du FPI sur une prétendue élaboration frauduleuse d’une instruction portant mise en Å“uvre de l’équivalence des grades et fonctions au sein du FPI ainsi que l’octroi précipité des grades à des proches aux autorités sus évoquées.

Ces allégations sans fondement et basées sur la haine et la jalousie ont uniquement pour objectif de perturber le climat social apaisé de l’Entreprise.

Ces personnes se déclarant proches des nouvelles Autorités du Fonds et clamant haut et fort leur proximité régionale à ces autorités, croient naïvement faire passer un message de division au sein du Personnel du FPI.

En effet, c’est depuis le 18 août 2022 que le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI), dispose, après la dernière révision intervenue en 2011, d’une nouvelle Convention Collective d’Entreprise dument visée par l’Inspection Générale du Travail et ce, conformément aux dispositions de l’Article 280 du Code du Travail en République Démocratique du Congo.

Les dispositions de ce nouveau texte réglementaire négocié entre parties sont conformes au contexte structurel actuel du Fonds.

Il s’agit entre autres de:

  • La dotation des indemnités kilométriques à tous les agents sans distinction de catégories;
  • L’allocation scolaire à la première quinzaine du mois de juillet, en plus du prêt scolaire accordé aux agents au mois d’août de chaque année, afin de faciliter la scolarité de leurs enfants;
  • L’amélioration de l’indemnité de fin de carrière à l’agent qui part en retraite après de longues années de loyaux services;
  • L’équivalence des grades et fonctions en vue d’une bonne adéquation de la responsabilité des agents. La liste des innovations en faveur du Personnel n’est pas exhaustive.

De ce fait, certains agents visiblement mal informés et mal intentionnés, n’arrivant pas à bien interpréter l’esprit du dernier point évoqué dans cette énumération, veulent tout simplement troubler la paix sociale au sein du FPI en voulant contester la quintessence de l’instruction FPI/DG/00009/2022 du 26 août 2022, portant mise en Å“uvre de l’équivalence des grades et fonctions au sein du FPI, qui est bel et bien légale et régulière car elle vient régulariser les statuts administratifs de certains cadres compétents au regard des fonctions assumées. Elle tire sa légalité des articles 31 et 32 de ladite Convention Collective.

Il sied de préciser que les procédures administratives de sa mise en application trouvent leur fondement dans les textes qui régissent l’Entreprise.

En effet, cette instruction vient restaurer l’harmonie dans le fonctionnement des directions et des services au sein du FPI étant donné que depuis un certain temps, il s’est constaté dans le fonctionnement de l’Entreprise, que des fonctions clés et essentielles étaient assumées par des cadres et agents aux compétences avérées mais malheureusement moins gradés. Par sa mise en Å“uvre, le dysfonctionnement récurrent constaté depuis a été corrigé.

Au-delà de l’instruction mise en cause sans fondement, il faut mentionner qu’une Commission d’analyse et de révision des grades a été instituée par la Direction Générale aux fins d’examiner, au cas par cas, les dossiers des cadres et agents et de proposer, le cas échéant, la promotion des agents remplissant les critères et ce, conformément aux dispositions de l’article 36 de la même Convention Collective en vigueur. Il est donc clair que l’examen des promotions qui doivent être comprises différemment de cas des régularisations (équivalence des grades et fonctions) est un processus qui est bien en cours.

Enfin, pour information, souligne la mise au point, l’application de l’instruction précitée ne sera effective qu’après sa validation par le Conseil d’Administration.

Point n’est donc besoin de porter des allégations sur le refus par la Direction des Ressources Humaines de la rendre publique, ce document faisant partie des éléments de la remise et reprise entre les Autorités. Il serait donc moins professionnel de mettre cette instruction sur la place publique avant la remise et reprise ainsi que sa validation par le Conseil d’Administration.

Dans cette attente, les agents et cadres sont appelés et ont intérêt à maintenir un climat de travail apaisé pour le bénéfice de l’Entreprise et de tous.

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