
La nouvelle de la mort de l’artiste musicienne chrétienne connue sous le nom de scène Sœur Henriette Fuamba, tombée comme un couperet le mercredi dernier, a suscité un flot de condoléances, notamment sur les réseaux sociaux au sein de la communauté de la musique chrétienne de la République Démocratique du Congo en général, spécialement la famille Branhamiste.
Reconnue pour sa belle voix et des bons messages véhiculés dans ses chansons, la Sœur Henriette prêchait à travers ses œuvres la pudeur, l’humilité, l’amour et l’espérance en Dieu.
Par sa manière de faire et de se comporter, cette fervente croyante au Message du Prophète Branham, a inspiré plusieurs musiciens chrétiens et a été l’une de rares chanteuses « Branhamistes » à être écoutée sans frontière ecclésiastique.
De son vrai nom Henriette Obonga Shango, elle est une ancienne élève de l’Institut Technique Commercial de Limete (I.T.C.L) ex. Saint Raphaël , diplômée en section Technique Commerciale et Administrative promotion 86. Aussitôt informée, la Mutuelle des Anciens Elèves de Saint Raphaël très émue par cette disparition a présenté ses très sincères condoléances à sa famille biologique ainsi qu’à toute la Communauté Otetela de Sankuru.
Dotée d’un timbre vocal unique, la Sr Henriette Fuamba dispose à son actif plus de 25 ans de carrière musicale chrétienne marquée par un répertoire des cantiques d’adoration et de louange qui continuent à retentir dans les mémoires des fidèles chrétiens et dont certaines chansons sont jouées en « Cover » par d’autres artistes. L’on peut épingler « Sekele ya motema », « Ton amour me contraint », « Brise-moi », « Le chemin du Ciel », « Ngandamuna », « Aponi ngai »…
Que ton âme repose en paix, Henriette Obonga Shango. Bravo l’artiste.
Franck Ambangito
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