
Le mauvais environnement hérissant l’hygiène alimentaire dans des marchés de la ville de Kinshasa, particulièrement dans la commune Kimbaseke. Ce qui nuit à la santé et offre des scènes crasseuses des poubelles sur le marché, de la nourriture qui traine par terre.
Ce phénomène de manque d’hygiène provoque des malades qui détériorent la santé de la population de la ville de Kinshasa, les vendeurs n’entretiennent plus des marchés préférant vendre dans la saleté, à côté de poubelle, cela au mépris des codes de l’hygiène alimentaire.
Selon un vendeur du marché pirate sous la passerelle de la place Pascal, reliant Kimbaseke et Masina, « l’entretien du marché dépend des autorités, l’État devrais nous imposer car si proclamons l’entretien appelé communément « Salongo » certains aimeraient le faire et d’autres vont contester et cela entraîne le découragement c’est pourquoi nous vendons toujours dans la crasse ».
La nourriture n’est pas conservée dans un bon état mais sont exposés aux microbes, certains pourrissent car ils ne sont pas bien conservé. Une acheteuse confirme « ce que nous mangeons est la cause des nombreuses maladies qui nous tourmente car la nourriture n’est pas conservée, certains aliments sont pourris même mais on nous le vend quand même telle que de viande, de tomates, des oignons pourris… Nous sommes obligés d’acheter sinon nous n’allons pas avoir de quoi nous nourrir ».
La pollution de la nourriture et de nombreux poubelle provoque des mauvaises odeurs qui attire de mouches et nuis la santé de vendeur et de ce qui vivent aux alentours du marché. Selon un habitant de ce côté « mauvaise odeur et devenue comme notre habitude nous dormons et nous nous réveillons avec ça, avant l’opération Kinshasa Bopeto enlever ces ordures mais ça fait un certain moment que ces agents ne passent plus, les poubelles ses multiplient vite l’odeur continue toujours et nous sommes obligés de vivre ainsi car l’État, jusque-là n’intervient pas » la population s’étouffe avec des mauvaises odeurs, la pollution s’empire toujours, les maladies se propagent vite dans la population ».
Stagiaire Ifasic/Kalama Misengabo
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