
La Représentante du Secrétaire général de la Monusco en RDC, Mme Bintu Keita a échangé avec le club des élites des universités de Kinshasa, ce samedi 03 septembre, au chapiteau du Pullman hôtel dans la commune de la Gombe.
Une rencontre, effectuée de suite d’une invitation faite à la Représentante du Secrétaire général de la Monusco par le club des alites des universités de Kinshasa, en vue de mettre fin à la désinformation, fausse informations et tant d’autres sur la présence de la Monusco dans l’Est du pays.
Au moins 300 étudiants de différentes universités ont bénéficié de la connaissance, et ont compris le sens et l’importance de cet appareil international.
Devant la presse à la sortie, La chef de la Monusco a explicité les principaux points traités dans la salle avec ces cadres. » Nous avons fait une rencontre avec 300 étudiants de 6 universités de Kinshasa. Et ceci était fait dans le contexte de leurs sentiments d’anti-Monusco, et la demande de départ immédiat de la Monusco pour certains et un départ dans un calendrier raisonnable pour les autres.
Ceci a été fait avec le club de relai, pour lutter contre la désinformation, la manipulation de d’informations et l’information qui est faite sciemment, pour ternir, noircir l’image de la Monusco », dit-elle.
Et d’ajouter que nous engageons plusieurs audiences et aujourd’hui c’est les étudiants de licence, pour les écouter et parler des questions qui fâchent et continuent à fâcher. Parce que dans la salle, nous avions ceux qui étaient venus écouter et d’autres étaient déjà dans la projection des narratifs construits à l’extérieur sur le travail et le bilan de la mission, bref on a fait l’évaluation de la performance de la mission sans toutefois la contacter.
Et de soutenir que si on est dans un cadre où on veut le dialogue, je pense que le gouvernement en avait parlé, mais qu’à ce ne tienne, alors l’objectif était de deux côtés, pour savoir quels sont les sujets qui fâchent alors, il y en avait tant, je ne peux pas les résumer, mais ce qui est important, est que c’est un travail de longue haleine, il faut y aller progressivement car il y a de formatage où il faut aller dans une logique d’authenticité pour savoir, qu’est-ce qui a été fait, ce qui n’a pas été fait et ce qu’il faut faire.
Jean-Luc, Lukanda
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